Real Estate Capital Gains Tax is a tax imposed whenever real estate in Israel is either sold or rented for a period of more than 10 years. The tax is imposed on the gain accruing to the seller as a result of the propertys increase in value from the time of its purchase until the date of its sale. This increased value is added to the income of the owners, who pay income tax on it according to their tax bracket. The assessment from the sale of the property usually reaches a tax bracket of 50%.
The tax at this rate is imposed only on the real increase in value, after adjustment for inflationary impacts. Regarding the tax on the increase in inflationary value, a low rate of 10% was paid until now. However, the law was recently changed so that no tax is paid on an increase in inflationary value since 1995.
Within 50 days of executing a real estate transaction, a report must be submitted to the Capital Gains Tax authorities on a special form, and a self-assessment made by the seller. The tax authorities are allowed to approve the self-assessment or to adjust it and demand additional tax. The seller is permitted to not prepare the calculation independently but, in such a case, must report the transaction within 30 days.
The Capital Gains Tax Law grants exemptions from tax in certain cases. For example, the transferring of real property as a gift from one party to a family member is exempt from tax. However, when the recipient of the gift sells the property, tax must also be paid on the increased value that accumulated during the period the property was held by the gift giver. The situation is different in the situation of the special exemption for a residential apartment; in that case, the buyer does not pay tax on the increase in the value of the land during the previous owners tenure.
Exemption for Apartment Dwellings:
Out of consideration for apartment owners who desire to sell or exchange their apartments, an exemption is granted for the sale of an apartment dwelling by a private party. The exemption is only granted for an apartment that is fit for use as a residence, and it does not apply to the sale of apartments still under construction. The exemption is also conditional on the seller selling all rights to the apartment and not retaining any part of them. The exemption also does not apply to unutilized building rights; therefore, for example, whoever sells a private home to which a second floor may be added might be assessed Capital Gains Tax on the value of the building rights that were sold.
The law was adjusted recently so that the abovementioned exemption will only apply to an apartment that was actively used as a residence for at least 80% of the time. The exemption is granted in one of the following cases: Sale of a single apartment once in four years, even if the seller owns several apartments, or sale of an apartment that is the sole apartment of the seller, even if the seller sold more than one apartment in the past four years. This exemption can be utilized once every year and a half (18 months).
The exemption also applies to a single family group that sells two small apartments in order to purchase one larger apartment, up to the selling price limit established by law.PrƩambule
Jusqu'au vote de la loi sur les courtiers immobiliers de 5746-1996 (ci-aprĆØs : la Loi), il rĆ©gnait dans le domaine du courtage immobilier en IsraĆ«l une grande opacitĆ©. Cette loi qui est entrĆ©e en vigueur le 1er avril 1997 a amĆ©nagĆ© de nombreux aspects concernant l'activitĆ© de courtage en IsraĆ«l et nous n'en mentionnerons qu'une brĆØve partie ci-aprĆØs :
Licence pour l'exercice du courtage de biens immobiliers
La loi stipule que ne sont autorisĆ©es Ć exercer dans le domaine des biens immobiliers, que les seules personnes dĆ©tenant une licence Ć cet effet. (Pour ce qui est de courtiers qui travaillaient en tant que courtiers avant le mois d'avril 1997 et Ć¢gĆ©s de moins de 60 ans, un sursis de deux ans leur a Ć©tĆ© accordĆ© pour continuer Ć exercer sans licence). Pour les courtiers tels que mentionnĆ©s ci-dessus qui Ć©taient Ć¢gĆ©s de plus de 60 ans, il est possible de leur accorder une dispense de l'exigence d'obtenir une licence dans des circonstances particuliĆØres). Les conditions cumulatives pour l'obtention de la Licence pour l'exercice du courtage de biens immobiliers sont les suivantes :
1. Ćtre Citoyen israĆ©lien (ou rĆ©sident Ć©tranger auquel a Ć©tĆ© octroyĆ© un permis de travail lĆ©gal en IsraĆ«l).
2. Avoir 18 ans rƩvolus.
3. Ne pas ĆŖtre en faillite.
4. Ne pas avoir ƩtƩ inculpƩ d'une infraction tachƩe d'infamie dans les cinq ans prƩcƩdant la demande de licence.
5. S'il a ƩtƩ dƩtenu, le candidat a fini de purger sa peine de dƩtention trois ans avant la demande de licence.
6. Avoir passĆ© avec succĆØs l'examen en vue de l'obtention de la Licence pour l'exercice du courtage de biens immobiliers.
On peut conclure de ce qui prĆ©cĆØde que celui qui demande une licence de courtage de biens immobiliers se voit demander en plus des conditions ci-dessus exposĆ©es de passer un examen professionnel, ce qui bien entendu mĆØnera Ć une professionnalisation du courtier s'occupant de transactions immobiliĆØres.
Obligation est faite de faire signer un formulaire de demande par le client ! L'article 9 de la Loi stipule que le courtier de biens immobiliers n'aura droit Ć des frais de courtage qu'au cas oĆ¹ le client a signĆ© une demande Ć©crite pour la rĆ©alisation de l'acte de courtage en immobilier. Cet article constitue une vĆ©ritable rĆ©forme, car il signifie clairement qu'un accord oral pour la rĆ©alisation de l'acte de courtage immobilier ne donne pas au courtier droit Ć percevoir des frais de courtage. Cet article a pour but de rĆ©duire le nombre trop frĆ©quent de conflits entre le courtier et son client concernant l'existence d'une telle demande de courtage et portant sur le fait que ce dernier a Ć©tĆ© le facteur efficace qui a menĆ© les parties Ć un accord contraignant.
Frais de courtage
La loi ne fixe pas les frais de courtage minimaux ou maximaux. Les parties sont autorisĆ©es Ć fixer d'un commun accord le pourcentage des frais de courtage. On notera qu'en IsraĆ«l, les frais habituels de courtage sont actuellement de 2% + TVA pour la vente/l'achat d'un bien immobilier.
Le montant d'un loyer mensuel + TVA pour la location annuelle d'un appartement d'habitation
Devoir de loyautƩ et de prƩcaution du courtier
La loi ne se contente pas d'obliger le courtier Ć agir avec loyautĆ©, honnĆŖtetĆ© et Ć transmettre au client toute l'information essentielle concernant le bien qui fait l'objet de la transaction, mais elle exige en plus que celui-ci mette en Åuvre ses propres moyens afin d'obtenir des informations concernant le bien objet de la transaction immobiliĆØre. En d'autres termes, le courtier n'est pas seulement un vecteur de transmission de l'information, mais il a en outre le devoir d'obtenir pour son client l'information pertinente pour la rĆ©alisation de la transaction.
Interdiction d'actes juridiques
En IsraĆ«l la loi interdit au courtier en biens immobiliers de mener ou mĆŖme d'aider Ć la rĆ©daction d'actes prĆ©sentant un caractĆØre juridique (par exemple: avant-contrat ou contrat de vente), et il lui est Ć©galement interdit de reprĆ©senter un client dans une nĆ©gociation en vue d'Ć©tablir un tel document.